Le 13 décembre 2024
Volume 42, Numéro 10
Saviez-vous Que...

La Vie d’Ici souligne cette année ses 40 ans

Quand le journal a été fondé en 1982, Michaël-Henri Lambert, n'était même pas né. Mais comme le dit si bien l'auteur français Corneille : «Aux âmes bien nées, la valeur n'attend pas le nombre des années». 

Michaël, en rejoignant notre équipe en 2017, était et est toujours le seul journaliste professionnel patenté à écrire dans la Vie d'Ici. Il est le résultat très fructueux de notre collaboration avec l'école de journalisme du Cégep de Jonquière (ATM). Comme l'avait fait dans une moindre mesure Dominique Gobeil et Éliane Pilote, Michaël, encore étudiant a consenti à s'intégrer à notre équipe bénévolement. Son apport humain et à la rédaction est d'une incommensurable richesse. 

Michaël est un homme d'ouverture qui n'a pas peur des défis malgré son jeune âge. Aussi il a accepté un travail de radio communautaire à Tête à la Baleine sur la Base Côte-Nord. Rassurez-vous contrairement à Jonas, il n'a pas été avalé par un grand rorqual (Jonas non plus probablement.) Pour rejoindre Michaël, il faudrait parcourir près de 1200 kilomètres. Mais aujourd'hui la distance n'a plus d'importance puisqu'on peut facilement communiquer par les techniques numériques informatiques. Ainsi recevons-nous ses belles réflexions à tous les mois. Comme vous avez pu le constater, ses sujets d'articles sont toujours très fouillés, très documentés, très diversifiés et sa réflexion nous amène hors des sentiers battus. 

Michaël est un jeune homme extrêmement intelligent, très dévoué, attaché à Shipshaw bien qu'il soit natif de Drummondville. Merci Michaël de faire partie de notre grande aventure et aussi de faire baisser la moyenne d'âge de l'équipe de la Vie d'Ici. Merci au nom de tous nos lecteurs pour ta si éclatante et lumineuse contribution. On ne t'oubliera jamais. 

Pour terminer je laisse la parole à un illustre Québécois d'un village voisin du tien. 

«De ce neigeux désert

Où vous vous embêtez

À jeter vos villages

Je vous répèterai

Vos parlers et vos rires

Vos propos et parlures

Jusqu'à perdre mon nom !» 

«Les gens de mon Pays» Gilles Vigneault.  

Vœux de Noël 

Ce seront ceux de ma mère,

Simone Noël,qui avait su tirer

du christianisme ce qu'il y avait de meilleur: son humanisme profond, incandescent, dans la douceur chaude de l'humble service. Son amour discret, incessant, généreux de soi nous poursuit toujours.

Qu'il en soit ainsi pour vous tous, chers Shipshois.

Que ce Noël nous ramène à l'essentiel.

Ainsi sera-t-il joyeux.